Deux sculpteurs à Saint Jean-de-Monts



REMERCIEMENTS


Cette exposition est organisée dans le cadre du centenaire de la naissance de Joël et Jan Martel (1896-1966) à la suite de l'hommage qui leur a été rendu à l'Hôtel du Département.


Elle est présentée au Palais des Congrès de Saint-Jean-de-Monts.


Elle a été réalisée par la Conservation départementale des Musées pour le compte de la Communauté des Communes du canton de Saint-Jean-de-Monts.


Nos remerciements s'adressent à la famille des sculpteurs qui a mis à la disposition des organisateurs ses archives ainsi que sa documentation :


. Mme Jan Martel

. M. et Mme Forney-Martel

. M. et Mme Langer-Martel

. M. et Mme Videlier-Martel, 

et leurs enfants.


Conception et rédaction : Christophe Vital, Conservateur départemental des Musées de la Vendée


Crédits photographiques : Photo fonds atelier Martel - Reprod. Serge Bauchet, Conservation des Musées de Vendée


Documentation : Jean Pierre Remaud assisté de Marie-Elisabeth Loiseau


Secrétariat : Carmela Bessonnet, Mariette Ricot


Montage exposition : Georges Gouin, Jean Louis Pasteur, Conservation des Musées et le personnel du Palais des Congrès, plus particulièrement Marie-Jo Pichaud et Jacques Golly, coordinateur des expositions au Palais des Congrès.


Relations publiques : Véronique Tesson


Les frères Joël et Jan MARTEL, sont à Saint-Jean-de-Monts ce que l'arbre est à la forêt.


C'est d'ailleurs au sein de cette forêt montoise qu'ils élirent domicile dans cet ancien moulin surmonté d'une sorte de minaret faisant songer aux palais mauresques orientaux.


Peut-être est-ce dans cette demeure à la vue imprenable sur la mer et sur le marais, qu'à l'abri des regards indiscrets ils trouvaient leur inspiration afin de traduire dans la pierre leur vision de certaines choses de la vie.


Du marais, terre aride, indisciplinée, ils surent très vite au travers de leur matériau exprimer la rudesse du labeur paysan, tout en figeant pour la postérité ce que le pays maraîchin compte de coutumes et de folklore si riches dans leur diversité.


" Le jeune couple " se rendant au marché, " Les danseurs maraîchins ", " L'accordéoniste ". Autant d'œuvres impressionnantes d'authenticité et de sincérité parce que forcément réalisées sous l'empire de la passion et de l'amour.


Joël et Jan MARTEL ne monopolisaient cependant pas dans leur esprit l'admiration qu'ils vouaient au marais. Ils savaient également rendre hommage à ceux qui sur ce site jetaient le même regard qu'eux-mêmes.


Le peintre Charles MILCENDEAU et l'écrivain Jean YOLE n'échappèrent pas à leur talent pas plus qu'ils n'omirent d'offrir à cette terre de mission " La vierge " de l'avenue de la Mer au visage si serein en ce monde agité.


Mais les frères MARTEL ne pouvaient ignorer la mer que de leur piédestal, ils découvraient chaque matin, l'humeur changeante comme les couleurs du temps.


" Les oiseaux de mer " tournés vers l'océan, si empreints de réalisme à l'heure où se congratulent l'ombre et la lumière, illustrent bien dans l'esprit de ces artistes, l'envol de Saint-Jean-de-Monts.


Notre station s'honore d'avoir abrité Joël et Jan MARTEL. Ensemble, ils ont parcouru la vie, la parsemant de leur sensibilité. Ensemble, ils l'ont quittée. Mais quitte-t'on jamais l'existence quand au travers d'une œuvre aussi monumentale on semble faire s'arrêter le temps qui passe.


André Ricolleau

Maire de Saint-Jean-de-Monts

Vice-Président de la Communauté des Communes du Canton de Saint-Jean-de-Monts


Joël et Jan sont nés à Nantes, ils n'en sont pas moins Vendéens de par leur mère, la famille Boucher est en effet originaire de Bois-de-Céné. Meuniers dès la Révolution, ils se succèdent de génération en génération à la tête de la mairie et dirigent le " Syndicat des Marais ".


C'est ainsi que les sculpteurs hériteront de la propriété familiale du Mollin à La Garnache, constituée à l'origine de plusieurs fermes et d'importants fours à chaux.


Léon Martel, le père des jumeaux est lui issu d'une famille d'industriels nantais, originaire du Dauphiné. Jouissant d'une certaine fortune, il peut à loisir s'adonner à ses passions, il aime l'architecture, la peinture et par dessus tout la musique. En même temps ce citadin se laisse séduire par la terre natale de son épouse. C'est ainsi que, peu de temps après leur mariage, Léon et Rachel viennent régulièrement passer leurs vacances en Vendée.


Au Mollin, Léon Martel fait dessiner un parc par l'architecte-paysagiste nantais Aubry et ambitionne d'y construire un château, il décédera en 1938 avant d'avoir pu exécuter ce vœu. C'est Joël et Jan qui après guerre y édifieront, sur leurs propres plans, une vaste maison qui est un compromis entre l'intérêt qu'ils portent à l'architecture traditionnelle et les conceptions architecturales qu'ils tiennent de Robert Mallet-Stevens à travers surtout la recherche de la fonctionnalité et de la convivialité. La maison devient en effet un lieu où l'on reçoit beaucoup.


C'est donc là que se déroule une partie de l'enfance des deux petits jumeaux. Ils y côtoient les enfants des paysans alentours et s'initient très vite aux traditions du pays et plus particulièrement à la musique et à la danse.


Chez les Martel, tout fonctionne par paire. Léon Martel achète en 1902 un terrain dans les dunes de Saint-Jean-de-Monts sur lesquelles est implanté un moulin déjà en ruine. Il décide d'en faire un lieu de villégiature balnéaire et conçoit une véritable " folie " d'architecture orientalisante. La démarche n'est pas sans rappeler celle de Charles Milcendeau qui au même moment, à deux pas de là décore à Soullans sa chambre du Bois-Durand. Les deux projets ont très certainement été inspirés par Marcel Baudouin, l'ami commun fasciné par l'art hispano-arabe et persuadé que le " peuple vendéen " trouve ses origines éthniques quelque part en Espagne ou au-delà du détroit de Gibraltar.


La " Chapellenie " tel est le nom que porte cette seconde résidence d'été. Les deux enfants s'y adonnent aux plaisirs des baignades et de la pêche à pieds. Plus tard, les sculpteurs continueront de fréquenter le lieu, de plus en plus assidûment pendant et après la guerre avec une préférence marquée de Joël pour le Mollin et de Jan pour la Chapellenie (son toit à bulbe domine toujours la forêt de Saint-Jean).


L'exposition photographique que nous présentons cet été au Palais des Congrès met principalement en scène les deux lieux que je viens d'évoquer. Léon Martel y a exercé ses talents de photographe en fixant sur les plaques au gélatino-bromure d'argent, la double image de ses deux enfants, s'amusant avec elle. Tantôt déguisés, tantôt occupés à leurs jeux, Jan et Joël se plient avec un sourire complice aux séances de pose dont le résultat démontre de la part du photographe un sens aigu de la composition.


" Même taille, même regard, même démarche, même allure, même chevelure et même construction intellectuelle, voici que par un phénomène de la mémoire et une sorte de photographie intérieure, soudain, il me semble voir surgir là, devant moi, Joël et Jan Martel, ces frères jumeaux (...) ils me faisaient souvent penser à une étrange " décalcomanie " spirituelle... " ainsi s'exprimait leur ami Jean-Raymond Tournoux il y a tout juste vingt ans, dans ce même lieu, au Palais des Congrès de Saint-Jean-de-Monts qui rendait un premier hommage aux sculpteurs disparus dix ans plus tôt.


L'exposition photographique présente également une série de portraits des artistes adultes depuis la guerre 14-18 jusqu'aux dernières années de leur vie. A chaque fois que ce soit à Saint-Jean-de-Monts, à Sallertaine ou bien encore dans le superbe atelier parisien construit par Mallet-Stevens, apparaît ce goût de la pose à deux, avec tantôt un certain humour, tantôt une grande tendresse.


A ces tirages photographiques, il convient d'ajouter quelques objets personnels : jouets des petits garçons, outils des sculpteurs mais également quelques dessins d'enfance.


Sont présentées également deux sculptures : la maquette de la Vierge de Saint-Jean-de-Monts qui orne encore aujourd'hui l'un des ronds-points de la ville et une autre maquette, celle des " Oiseaux de mer ", leur dernière œuvre monumentale réalisée face à la mer en 1963 qui correspond aux tendances des vingt dernières années allant vers une simplification des formes, l'utilisation dominante de lignes courbes s'opposant aux lignes droites et brisées des années 20 et 30 mais avec toujours cette quête inlassable du mouvement qui domine l'ensemble de l'œuvre.


Christophe Vital

Conservateur départemental des Musées de Vendée


L'enfance à Saint Jean-de-Monts


 Photo n° 1 - Pages 10 et 11
Jan et Joël et leur nourrice au Mollin, 1898.


Photo n° 11 - Pages 12 et 13
Le théâtre de marionnettes : de gauche à droite, Armand Pontoizeau, Jan, Joël et Louis Pontoizeau - Le Mollin, 1902.


Photo n° 13 - Pages 14 et 15
Photographie intitulée par Léon Martel " La brochette d'âne " où figurent les frères Martel, leurs amis Pontoizeau et deux autres camarades ; le Mollin, 1905.


Photo n° 14 - Pages 16 et 17
Les jardiniers dans la Sapinière : Jan, un ami, Joël, Louis et Armand Pontoizeau - Le Mollin, 1903.


Photo n° 21 - Pages 18 et 19
A la gare des Quatre Moulins, Jan, Joseph Boucher l'oncle des jumeaux, Joël et Claude Martel assis sur la voie de chemin de fer, 1902. Cette photographie fut intitulée avec humour par Léon " le suicide ".


Photo n° 23 - Pages 20 et 21
Vieux moulin dit de " Tous-Vents " dont M. Léon Martel fit l'acquisition en 1902. Il fut vite surnommé par les Montois : la Tour Martel. Sur le toit : Léon Martel. On notera que la forêt de pins a été récemment plantée.


Photo n° 24 - Pages 22 et 23

La Chapellenie

Résidence d'été des Martel et plus particulièrement de Jan après guerre, la Chapellenie fut édifiée dans les pins, à partir du vieux moulin dont on a du mal à deviner le corps cylindrique à gauche, doublée d'une deuxième tour de forme hexagonale coiffée d'un toit en forme de bulbe.

Construite à partir de 1904 par Léon cette " folie " est empreinte d'un exotisme alors à la mode et qui n'est pas sans rappeler la chambre " mozarabe " de Charles Milcendeau exécutée par le peintre l'année suivante.



Photo n° 26 - Pages 24 et 25

Le père des sculpteurs, Léon Martel, pose à la porte de la Chapellenie, vers 1905.

Personnage original, hors du commun, " dandy ", qui inculquera à ses enfants l'amour de la musique et l'esprit moderne. Très tôt veuf, il consacre sa vie à ses deux garçons auxquels il voue une véritable vénération. C'est à lui que l'on doit les prises de vue de cette exposition avec ce regard tendre et amusé sur la gémellité.



Photo n° 30 - Pages 26 et 27
Trois baigneurs, Jan Joël et Léon sur la plage de Saint-Jean-de-Monts, 1904.


Photo n° 31 - Pages 28 et 29
Jeux sur une barque à Saint-Jean-de-Monts, Joël, Jan et Louis et Armand Pontoizeau, 1903.


Photo n° 34 - Pages 30 et 31
Jan et Joël à la barrière, au Gois, 1903.


Photo n° 35 - Pages 32 et 33
Pêche à pieds au Gois : Joseph Boucher et les jumeaux, 1903.


Photo n° 36 - Pages 34 et 35
Partie de pêche aux pignons à la Barre-de-Monts : Joseph Boucher, les jumeaux et des amis, 1902.

Les sculpteurs


Photo n° 37 - Pages 36 et 37
Jan et Joël à la Chapellenie autour du buste de Jeanne Fonssagrives, 1913.


Photo n° 39 - Pages 38 et 39
Jan en uniforme debout à gauche (Joël assis fut réformé) à la Chapellenie avec un de leurs amis Jean Ledoux (1915).


Photo n° 40 - Pages 40 et 41
Dos à dos à la Chapellenie, 1920.


Photo n° 42 - Pages 42 et 43
Profils de Joël et Jan Martel par Laure Albin-Guillot (1879-1962).


Photo n° 43 - Pages 44 et 45
Jan et Joël à la ningle dans le marais vers le Gois, années 50.


Photo n° 44 - Pages 46 et 47
Jan et Joël devant les sculptures du monument de Debussy et le nu de l'UAM de 1937, atelier rue Mallet-Stevens, années 50.


Photo n° 45 - Pages 48 et 49
La leçon : Joël, Jan et Lise-Laure devant le Mollin, années 50.

REPERES BIOGRAPHIQUES ET ŒUVRES VENDÉENNES

 

1896. Naissance le 5 mars, rue du Château, Nantes. Ils passent leur enfance à Nantes où ils font leurs études primaires et viennent en vacances au Moulin à Sallertaine et à la Chapellenie à Saint-Jean-de-Monts, propriétés familiales.


1910. Décès de leur mère, originaire de Bois-de-Cené.

Note : La maman est décédée à La Garnache le 10 novembre 1911.


1911. S'installent à Paris au 11 rue de la Néva et entrent au Lycée Carnot.


1913. Sont admis à l'École Nationale des Arts décoratifs de Paris.


1915. Jan est mobilisé à Verdun (Meuse).


1920-22. Monuments aux morts en Eure-et-Loire, Aisne et Vendée (Olonne-sur-Mer, La Roche-sur-Yon, Saint-Gilles-sur-Vie, Saint-Hilaire-le-Vouhis).


1925. Collaboration importante à l'exposition des Arts décoratifs et Industriels modernes de Paris.


1926. Collaboration avec Mallet-Stevens à la réalisation de leur propre hôtel particulier inséré dans un complexe créé par l'architecte, à Auteuil. Mariage de Joël et Mado Burkhalter, sœur de l'architecte, à Saint-Jean-de-Monts.


1927. Réalisation de deux statuettes " l'Accordéoniste ", deuxième version (le premier accordéoniste datant de 1925) et " Couple de danseurs du marais vendéen ".


1929. Monument à la mémoire du Commandant Guilbaud à Mouchamps.


1930. Voyage de Joël en Irak (mission scientifique).


1932. Monument à la mémoire du compositeur Claude Debussy, boulevard Lannes à Paris, en collaboration avec Jean Burkhalter.


1933. Exécution des insignes, challenge et affiche commémorant le vol de l’Arc-en-ciel, avion de René Couzinet.


1935. Création du groupe folklorique maraîchin " Les danseurs et chanteurs du marais vendéen ".


1936. A l'automne, voyage avec le groupe aux Pays Bas, ainsi qu'en Allemagne où ils se rendent à Berlin pour assister aux Jeux Olympiques.


1937. Participation à l'Exposition internationale des Arts et Techniques Appliqués à la vie moderne à Paris. Ils conçoivent et décorent notamment la salle d'agriculture du Pavillon de la 5ème Région (Poitou, Aunis, Saintonge, Angoumois) en ce qui concerne la Vendée.


1939. Accordéoniste, nouvelle version.


1940. Ils quittent Paris pour la Vendée où ils se consacrent à l'étude des mœurs et coutumes maraîchines et élaborent un traité non publié sur les arts et traditions populaires vendéens. Bas-relief " Couple de danseurs maraîchins " et figure en ronde bosse, " Faucheur ", statue du " Couple de danseurs maraîchins ".


1941. Edition numérotée du Faucheur vendéen en bronze. Construction de la ferme du Grand Pouvreau à Sallertaine en collaboration avec l'architecte G. Haning.


1943. Exécution d'une faïence polychrome " A la mi-juillet, la faucille au poignet " et du " Moissonneur " en ronde bosse (dont un en céramique vernissée brune).


1946. Diplôme d'honneur au maréchal de Lattre de Tassigny.


1947. Monument aux Morts des Clouzeaux. Monument à la mémoire du peintre Charles Milcendeau à Challans réalisé en collaboration avec l'architecte Jean Bossu. " Le loup et l'agneau ", " le Renard et la Cigogne ", groupes de sculptures illustrant Les Fables de la Fontaine pour le jardin municipal des Sables d'Olonne.


1949. Architecture de quatre maisons vendéennes, une bourrine, la " Mariennée ", la " Martelière " et la " Boucotte ".


1950. Fronton du cinéma " Le Marais " à Challans.


1951. " Vierge à l'Enfant ", sculpture monumentale à Saint-Jean-de-Monts.


1952. " Danseurs bocains " exécutés pour une place publique à la Roche-sur-Yon. Petite statuette " Oiseaux en vol ".


1955. Bas-relief pour l'école centrale de Luçon.


1956. Bas-relief à l'effigie de Jean Yole sur un moulin au Mont des Alouettes. Joël réalise les plans de leur domaine du Mollin en Vendée.


1958. Statue de " Mélusine " pour le barrage de Mervent.


1963. " Les oiseaux de mer ", sculpture monumentale située en front de mer à Saint-Jean-de-Monts.


1964. " Perrette et le pot au lait ", sculpture monumentale pour l'École maternelle des Barrières, de Challans.


1966. Jan trouve la mort dans la voiture de l'architecte Jean Bossu le 16 mars alors qu'il revient de Lille. Joël accablé par le décès de son frère jumeau et miné par la maladie s'éteint le 26 septembre.


A LIRE

 

• Joël et Jan Martel, sculpteurs, 1896-1966.

- Catalogue d'exposition. Préface d'Yvonne Bruhnammer, textes de Félix Marcilhac. Saint-Jean-de-Monts, 1976 - La Roche-sur-Yon, 1977.

 

• Joël et Jan Martel, sculpteurs 1896-1966.

- Préface de Bruno Foucart, textes de Emmanuel Bréon, Philippe Camin, Bruno Gaudichon, Michèle Lefrançois, Jean-Christophe Moncys Martel, Jean-François Pinchon, Philippe Rivoirard, Valérie Veillot, Christophe Vital. - Paris : Gallimard/Electa, 1996. - 208 p., ill.

 

• Joël et Jan Martel, sculpteurs, 1896-1966.

- Catalogue d'exposition. Préface de Philippe de Villiers, textes de Christophe Vital. Hôtel du Département de la Vendée. Avril-août 1996.

 

• " Entre Paris et la Vendée, l'œuvre de Joël et Jan Martel " par Christophe Vital. 303, XLVIII, pp. 4-13. 1er trimestre 1996.


LISTE DES PHOTOGRAPHIES NON REPRODUITES

 

2. La petite maison d'origine au Mollin. M. Lambrecht un ami de la famille et Mme Claudine Martel, tante des jumeaux, 1899.

 

3. Au Mollin, la maisonnette " Ker Amis " construite par Léon Martel pour ses amis Lambrecht. Léon Martel et ses enfants sont assis à gauche, 1902.

 

4. Au bord de l'étang du Mollin près du premier kiosque, 1902. La tante des frères Martel, Claudine et son fils Claude Martel ; Joseph Boucher entouré de ses deux neveux.

 

5. Léon Martel entouré de ses enfants et du chien Sultan, au bord de l'étang du Mollin, 1901.

 

6. Rachel Martel et ses fils au Mollin, 1902.

 

7. Les domestiques (dont Blaise) de la Viollerie, propriété de M. Joseph Boucher à Bois-de-Cené, 1904.

 

8. Les écuries vues du four à chaux et petite maison du Mollin, 1899.

 

9. Claudine Martel, Joseph Boucher avec leur neveu Jan au bord de l'étang du Mollin, 1902.

 

10. Les jumeaux, leurs camarades Pontoizeau et leurs cousines Boucher exécutant la grande danse maraîchine ; au Mollin, 1902.

 

12. De gauche à droite : Armand Pontoizeau, Joël, Louis Pontoizeau et Jan, jouant aux quilles au Mollin en 1902.

 

15. Pêche au bord de l'étang du Mollin, les jumeaux, leurs camarades Pontoizeau et des cousines, 1903.

 

16. Les jumeaux à la fenaison au Mollin, 1902.

 

17. A la ferme du Mollin, les jumeaux et leurs camarades jouent dans le blé, 1902.

 

18. Les deux jumeaux sur une charrette à la ferme de la Gaubretière à Châteauneuf, 1903.

 

19. Jan et Joël déguisés en grenadiers de l'Empire, Nantes, 1905.

 

20. Les jumeaux et des camarades faisant leur jardin au Mollin, 1904.

 

22. Départ de Fromentine, 1902.

 

25. L'Escalier en bois allant vers la plage a été construit par Léon Martel.

 

27. Intérieur de la Boucotte, maison au bas de la Chapellenie. Léon Martel assis en avait fait une sorte de petit musée maraîchin. Des dessins de Jean Burkhalter figurent au mur. Années 30.

 

28. Au Mollin, la famille pratiquant la danse maraîchine, 1904.


29. Dans le chemin descendant vers la mer à la Chapellenie ; de gauche à droite : un ami, les deux jumeaux, Marie Touache, Joseph Boucher, une amie de Mme Martel et Mme Rachel Martel, 1904.

 

32. A Sion, M. Lambrecht ami de la famille, Rachel Martel et ses enfants Joël et Jan, 1904.

 

33. A Sion. A gauche Léon Martel et les jumeaux, et la famille de Sarah Delpeyrou (tante maternelle des Martel), 1904.

 

38. Joël, Léon Martel et Jan Martel, vers 1914.

41. Les frères Martel dans leur atelier rue Huyghens, vers 1922.


Imprimerie Belz

La Roche-sur-Yon

Tél 51.37.08.10

ISBN 2-908017-24-5


Vendée Conseil Général

Conservation Départementale des Musées de Vendée

Communauté de Communes du Canton de Saint-Jean-de-Monts